dimanche 7 octobre 2012

L'immigrant dort à côté

Je suis allé à Suisse ce week-end où je suis resté à Lausanne et à Genève, deux jours chaqu'une. Les photos de ce voyage sont ici et ici. Dès que je suis arrivé, j'ai remarqué dans les lieux plus visités quelques avertissement des risques de vol aux touristes. Je les avait jamais vue en France et en Belgique. J'ai aussi remarqué que il y a beaucoup d'immigrants portugais en Suisse, c'était très commun d'entendre personnes en parlant portugais dans la rue, dans les trains, dans l'aéroport. Et, donc, je m'ai enregistré au auberge "Youth Genève Hostel" hier. Dans ma chambre, il y avait quatre hommes, jeunes et pas, entre eux un garçon espagnol qui a décidé immigré à Genève à cause de la crise.

Ce garçon dont le prénom je ne sais pas – très curieux – restait au auberge pour quatre nuits. Il avait l'air tense, très inquièt. Il a vers 25 ans, blanc, les yeux clairs, les cheveux courts. Il est beau, sportif, taille moyenne. Quand je suis arrivé à la chambre, il parlait à un autre collègue de chambre, un parisien. Ainsi que le dernier est sorti, il a commencé à parler à moi. Je me suis aperçu qu'il racontait cet histoire au parisien. Comme j'ai été d'accord à lui entendre, il m'a demandé de parler en espagnol. Alors, je me suis assis sur le lit.

Il a dit qu'il a immigré pour trouver un travail, car les conditions dans son pays sont mauvaises et l'économie suisse est très forte. Au premier jour à Genève, il a dormi dans la rue puisque il n'avait pas trouvé un hébergement. Mais, selon lui, ça c'était un risque prévu. Le garçon a dit aussi qu'il demandait des nourritures dans une organisation social suisse et, là-bas, il a rencontré plusiers immigrants dans la même situation, la majorité des portugais et des espagnols. Je lui ai posé pourquoi ne pas changer de pays, ne pas immigrer au Canada ou Amérique du Sud, par exemple. Il m'a répondu qu'il a des familles en Argentine, mais son envie de rester à Genève avait dévenue un problème personnel. Il veut améliorer son français et gagner d'argent pour aider les immigrants. Maintenant, son rêve est combattre contre le puissance suisse: les banques. J'ai posé comment il ferra ça, mais il ne m'a pas répondu.

Il m'a raconté une histoire: il a rencontré une prostitute dans la principale gare et elles ont parlé un peu. Elle avait décidé de rentrer à son pays d'origine (la Roumanie), car elle se sentait très seule en Suisse, bien qu'elle y avait gagné beaucoup d'argent. Ensuite, il m'a dit qu'il avait jamais fait ce type de travail, qu'il jamais se deviendrait homosexuel pour survivre. J'ai noté le besoin de affirmer ça. Je lui ai posé quel est son domaine de travail, mais il ne m'ai pas répondu. Enfin, il a dit qu'il utilise la raison, l'intelligence, qu'il n'est pas un fanatique et qu'il déteste la violence. 

Enfin, j'ai mal dormi cette nuit, car un autre collègue, un vieux, s'est levé quatre fois pour allé au toilette. Tous dans la chambre a beaucoup ronflé toute la nuit. Et, finallement, mon collègue immigrant est retourné de la soirré trop tard, vers 6:30.

2 commentaires:

  1. Pois é Carlos! A suíça ainda é um dos poucos países q tem a economia "forte" na Europa. Eu sei da historia de que la não é fácil ser um imigrante legalizado. Todos andam no negro. Mas mesmo assim, o governo os atende de todas as formas, dando praticamente todos os benefícios. Um imigrante ilegal, no meu ponto de vista, consegue viver na Suíça tranquilo, até q a policia apareça.

    RépondreSupprimer
  2. É, o negócio está barra pesada por lá.

    RépondreSupprimer